Quels sont les avantages et inconvénients de courir à plusieurs ?
Êtes-vous plutôt un coureur solitaire ou un coureur grégaire ? Petit tour d’horizon des avantages et inconvénients de la course en groupe…
J’initie ici un nouveau type d’article, puisque je ne l’ai pas rédigé moi-même : c’est Maxence Rigottier de blog course à pied qui nous parle aujourd’hui des avantages et inconvénients de la course en groupe. Je lui laisse la « parole » 😉
Tout d’abord, je souhaite remercier Nicolas qui a la gentillesse de me donner la parole pour cet article.
Qui suis-je ?
Je me présente, je suis Maxence Rigottier et j’ai un blog de course à pied. Sur mon blog, je partage mon expérience de coureur de 10 km. De plus, j’offre des interviews audios et vidéos d’experts en course à pied pour permettre aux lecteurs de mon blog d’avoir une meilleure alimentation et nutrition, de débuter le footing, de progresser sur 10 km, semi-marathon, marathon… ou encore de se muscler en course à pied.
Préambule
Pour certaines personnes, la motivation est plus importante quand on est plusieurs à courir en même temps. En revanche, pour d’autres coureurs, courir seul est synonyme de liberté, d’être dans l’instant présent, de pouvoir effacer tous ses problèmes au quotidien.
Actuellement, je suis en Thaïlande. C’est l’été et il fait environ 30 degrés. Je cours souvent avec mon frère. On a des niveaux hétérogènes. De ce fait, je ressens les avantages de courir à plusieurs (on est deux) mais également les inconvénients. Voyons tout de suite ensemble, quels sont les avantages et les inconvénients de courir à plusieurs ?
Quel type de coureur êtes-vous ? Coureur solitaire ou coureur grégaire ? (crédit Photo : ianhun2009)
Les avantages de courir en groupe ou à plusieurs
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Augmentation de sa motivation personnelle
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Se soutenir mutuellement
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Se surpasser
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Créer des liens sociaux avec des personnes qui partagent la même passion
Si vous courez depuis plusieurs mois ou depuis plusieurs années, vous avez certainement connu ce coup de flemme qui vous empêche de mettre votre paire de running avant d’aller courir. Notre cerveau est très malin, il cherche toutes les excuses possibles et inimaginables pour renoncer de courir. Cependant, lorsqu’on sait que l’on s’est donné rendez-vous avec un groupe d’amis, avec son club… difficile de faire marche arrière. On râle, mais on va au point de rendez-vous qui était prévu. Il n’y a pas de doutes, quand on court en club, dans une association, avec un groupe d’amis ou sa famille (frère, sœur, mère, père.), on s’oblige à respecter les horaires de rendez-vous.
Courir est un sport individuel. De ce fait, contrairement aux sports collectifs où l’on peut compter sur les autres dans un moment difficile, ici, on ne peut compter que sur soi-même. Personnellement, que ce soit à Malte dans le club d’athlétisme où je m’entraîne ou encore dans mes anciens clubs d’athlétisme (ECA, Lyon Athlétisme ou ASPTT Marseille), j’ai toujours eu à l’entraînement ou en compétition mes camarades de club qui m’encourageaient. Dans n’importe quel club, même si courir est un sport individuel, l’état d’esprit de vos collègues coureurs est collectif. Prenons par exemple les Interclubs. J’ai fait plusieurs Interclubs avec mon club de L’ECA de 2006 à 2008, les Interclubs sont synonymes de fêtes.
Dans toute activité, le simple fait d’être à plusieurs incite à créer une émulation positive. Généralement, on se pose cette question : si les autres y arrivent, pourquoi moi, je n’y arriverai pas ? Vous n’êtes pas d’accord avec moi ? (Lorsqu’une dynamique s’installe, cette dynamique nous permet de progresser, mais aussi de nous tester par rapport aux autres.
Courir à plusieurs permet de renforcer les liens avec les personnes avec qui on court. Il y a de grandes chances que vous soyez dans le même cas de figure que moi, c’est-à-dire d’avoir des amis coureurs grâce à l’association, le club avec lequel vous courez. Un autre immense avantage, c’est que les personnes avec qui on devient ami partagent la même passion que nous. Si l’on parle de running, ils ne vont pas nous prendre pour des fous comme d’autres personnes de notre entourage qui ne s’intéressent pas à la course à pied.
Personnellement, j’ai déjà couru 1 ekiden avec des camarades de clubs et c’était sympa. Qu’est-ce qu’un Ekiden, c’est 1 marathon qui se court à 6 athlètes. Les distances sont réparties de la manière suivante : [5 km, 10 km, 5 km, 10 km, 5 km, 7 km 195 mètres]. Ce type d’épreuve permet incontestablement de renforcer les liens entre athlètes.
Quels sont les inconvénients de courir à plusieurs ?
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Aucune contrainte horaire
- Quand vous voulez
- Où vous voulez
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Que bavarder ne devienne pas une éternité
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Ne pas tomber dans le surrégime
Quand on court seul, il n’y a pas besoin de s’adapter aux horaires des autres… si vous n’avez pas beaucoup de temps pour courir, c’est pratique, il faut mieux se la jouer « en solo » afin de courir :
Si vous n’aimez pas les contraintes lorsque vous courez à plusieurs, il faut mieux courir seul. N’oubliez jamais que courir doit être une source de bien-être et de plaisir plutôt qu’une source de stress.
Quand on rejoint un groupe pour courir, c’est sympa, on se fait la bise, on se donne des poignets de main entre amis. Mais que toutes ces embrassades ne deviennent pas une éternité pour commencer la séance d’entraînement.
Par ailleurs, si vous avez un ami qui a d’immenses idées négative ou est très stressé le jour J de la compétition, pensez à vous protéger pour garder vos forces mentales. Certaines fois, mieux vaut être isolé dans son coin plutôt que de s’approprier les problèmes des autres juste avant un départ.
Puisque je suis en Thaïlande en ce moment en vacances avec mon frère, on court assez souvent tous les deux. Toutefois, on a des niveaux hétérogènes, il a un niveau inférieur au mien, car il s’entraîne juste quelquefois de temps en temps. Et bien, inconsciemment, il se met à chaque fois en surrégime lorsqu’on fait un footing, car il a envie de résister à mon allure. Et c’est le cas pour chaque athlète. Moi-même, à chaque fois que je cours en groupe ou à plusieurs, j’ai tout le temps envie de m’accrocher à des coureurs qui ont un niveau supérieur au mien. Le risque est de courir soit trop vite ou trop lentement par rapport à ses capacités. Le risque qui me vient tout de suite à l’esprit, c’est la blessure, la fracture de fatigue…
Bref, mais si c’est facile dans la théorie et dur dans la pratique, il faut essayer au maximum de rester à l’écoute de son corps.
Et vous ?
Préférez-vous courir à plusieurs ou tout seul ? Qu’est-ce que vous aimez le plus dans le simple fait de courir seul ou en groupe ? Laissez-moi votre réponse dans les commentaires du blog 😉
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Salut Tibo,
Merci pour ton retour d’expérience. 😉 Je viens d’aller voir ton blog. Sympa le titre, il est accrocheur.
A moins de 10 semaines du marathon de Paris, ta préparation doit commencer à augmenter.Je suis d’accord avec tes propos, faire descendre le chronomètre ne doit pas être une obsession. Le plaisir est le plus important.
Si s’améliorer est une source de plaisir, tant mieux. Par contre, si on souhaite s’améliorer et qu’on n’y arrive pas (ce qui engendre de la frustration et de l’énervement), c’est vraiment bête.
Je dis cela car j’étais comme cela avant.
Moi, j’opte pour le mélange des deux (courir seul et à plusieurs). Bref, je vais suivre ton évolution dans ta préparation jusqu’au mois d’avril. 😉
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#3 écrit par Didier Il y a 11 ans
merci Nicolas pour ces informations supplémentaires. Je suis moi-même sur une zone géographique où la température ambiante est de 30° jour et nuit et l’humidité a sérieusement gagné du terrain ces temps-ci. Il pleut parfois si fort qu’il est bien difficile de pouvoir courir. Cependant je ne relâche mon effort régulier, sauf lorsque la sortie s’avère véritablement impossible. Ayant tenté de courir avec des amis sans résultat, je cours donc en solitaire. Les avantages et inconvénients listés par Maxence Rigottier résument bien les choix qui se présentent à chaque coureur. J’avoue que de temps en temps j’aurais plaisir à courir en compagnie, mais le temps commun de disponibilité et la différence de niveau constituent les principaux freins à cette expérience. Sur mon île perdue dans l’océan Indien il n’y a pas de club d’athlétisme pour vétérans.
Justement, Nicolas, j’avais une question à te poser. Étant retourné en métropole pendant les vacances de fêtes de fin d’année j’ai couru de temps en temps mais le mauvais temps n’était guère incitatif, le froid humide était mordant. Au mois de juillet je retourne définitivement dans le sud ouest de la France, mais j’ai beau être dans une zone plus privilégiée que d’autres sur le plan climat, les pluies sont très fréquentes. Ma question est la suivante : est-ce que courir sur un tapis de course a les mêmes effets qu’un entraînement à l’extérieur ? j’envisagerais volontiers cette solution (couplée avec la course naturelle) pour être sûr de ne pas couper la fréquence des entraînements à l’avenir, surtout qu’avec mes futures obligations familiales le temps disponible ne sera pas toujours facile à trouver.
Merci encore pour ton blog et bon courage pour la suite.-
#4 écrit par Nicolas Cherpeau Il y a 11 ans
Bonjour Didier,
Si tu t’installes dans le Sud-Ouest, je pense que tu auras quand même pas mal de bonnes fenêtres météo pour courir. As-tu une veste imperméable et respirante pour courir sous la pluie ? Car je trouve que c’est vraiment un bon investissement, utile, et souvent obligatoire pour les courses en trail. Les sorties sous la pluie passent beaucoup mieux 😉
Sinon, je ne pense pas que courir sur un tapis de course soit équivalent à courir dehors, car tu n’as pas de résistance de l’air extérieur puisque tu fais du sur-place. C’est donc un peu plus facile. De plus, étant donné que c’est le tapis qui se déplace, la force de propulsion est moins importante. Donc le tapis de course, oui pourquoi pas, c’est pratique, mais je ne le conseillerai pas en utilisation exclusive.
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#5 écrit par Didier Il y a 11 ans
merci Nicolas pour ta réponse et ton conseil avisé. Je constate que le jour venu il sera nécessaire que je m’équipe de manière plus complète pour affronter une météo changeante. Le tapis de course n’est donc pas la solution la plus adaptée en termes de préparation, le vélo elliptique est-il plus approprié pour garder la forme et le souffle en cas d’impossibilité de sortie ? beaucoup de personnes lui font une publicité très avantageuse et j’avoue que, en dehors des problèmes de climat, je sais que ponctuellement je n’aurais pas forcément l’occasion de pouvoir sortir pour des raisons pratiques, tout du moins je risque de ne plus pouvoir assurer un entraînement aussi régulier que je peux le mener en ce moment en étant solitaire.
Ta réponse tombe à pic, outre le fait est qu’elle me permet d’affiner mes interrogations pour penser à mon retour dans quelques mois, il m’est arrivé une aventure peu ordinaire dans ma sortie d’hier. Après une petite rupture de cinq jours pour cause de très mauvais temps, j’ai repris un petit run sur un circuit habituel, plat dans l’ensemble pour accomplir une heure d’effort. Je ne faisais attention qu’à mon sentiment de bien-être, et l’œil rivé uniquement sur mon cardiofréquencemètre. Au bout de 45 minutes d’efforts, je commençais à me sentir fatigué mais je souhaitais continuer à petites foulées. Ma pulsation s’est mise à descendre, j’étais habituellement entre 165 et 172, je suis descendu dans les 150, est très vite dans les 140, puis 130, puis 120… je ne me sentais pas épuisé pour autant, j’étais donc troublé. L’appareil connaissait-t-il un problème ou le cœur avait-il tendance à lâcher doucement ? A la 50e minute je me suis décidé à marcher, bien que les battement se fussent à peu près stabilisés dans les 120, et au bout de cinq minutes de marche j’ai repris ma petite foulée pour terminer mon circuit, j’étais dans les 140/150. Est-ce que ce genre de phénomène peut se produire ponctuellement, est-ce que c’est un dérèglement du récepteur cardio, ou est-ce un signe de fatigue physique ?
Prochain run mercredi AM.
PS ; j’ai fait un cardiotest sur les conseils de mon médecin en début janvier lorsque je suis rentré en France. C’était OK dans l’ensemble. Je dois tout de même passer un sorte d’échographie en début mars (prochain retour sur le territoire) pour affiner une petite interrogation que le cardiologue se posait sans s’inquiéter. Je peux courir dans les zones de FCM que j’occupe, malgré le taux élevé, mais il serait bien que je puisse descendre vers les 150, c’est donc mon objectif ce mois-ci.
Dernière chose, un ami m’a parlé de Jiwok (site de coachs à distance), c’est efficace ?
Bonne journée….
Merci et à bientôt.-
#6 écrit par Nicolas Cherpeau Il y a 11 ans
C’est sûr qu’être bien équipé aide à sortir même par mauvais temps.
Pour le tapis de course, je donnais juste quelques différences avec la course dehors, mais c’est une bonne alternative quand on ne peut pas courir dehors.
Après, vélo ou tapis de course, tout dépend de ta pratique. Si tu cours pour être en forme, sans ambition particulière, le vélo permettra de changer de type d’effort. Si la course à pied est « ton sport », que tu veux t’améliorer, alors tout dépend de la proportion de l’entraînement en intérieur. Si l’entraînement en intérieur va représenter une grosse proportion de tes entraînements, alors le tapis est plus adapté. Sinon, si ça reste une solution de dépannage utilisée de temps en temps, le vélo peut aussi être profitable.
À propos des pulsations qui baissent, je n’ai pas d’explication autre que le cardio qui fonctionne mal (ceinture qui descend ou qui se dérègle par exemple).
Pour Jiwok, je connais seulement de nom, je ne l’ai jamais utilisé. Je crois que le principe est d’avoir l’entraînement sous forme de mp3 avec des consignes pour la séance. Il y a un extrait sur leur site. Pour la qualité des plans d’entraînement, je ne sais pas ce qu’ils proposent. Quel serait le but ?
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#7 écrit par Didier Il y a 11 ans
Bonjour Nicolas,
J’ai pris acte de ta réponse et t’en remercie.
Pour l’entraînement complémentaire avec les machines j’aviserai d’ici cet été. Pour Jiwok, effectivement, il semblent se baser sur l’utilisation de MP3, je ne suis pas très « in » car je ne cours jamais avec des écouteurs dans les oreilles. Je préfère être à l’écoute de mon corps et vaquer à mes pensées si besoin. Et puis je me méfie des rythmes musicaux qui peuvent vous inciter à changer le sien, si on court longtemps ça fait un ensemble de musiques variées… Tu me posais la question de mes objectifs ? Le premier était de perdre un surplus de poids indésirable, mais cet objectif a été largement atteint en 4 mois d’efforts réguliers. Maintenant je tente d’aller plus loin ; participer à une course de 10km à mon retour en métropole, pas de souci, c’est à ma portée, reste que je souhaite atteindre une performance moyenne (je me suis calculé le temps plafond que je ne voudrais pas dépasser dans ma catégorie en faisant une moyenne des résultats sur une course de ce type qui a lieue dans ma ville d’origine). Mais mieux pour la suite ; travailler dans la perspective d’un semi-marathon qui cache le désir ultime ; une participation à un marathon. Donc, je procède par étapes et me méfiant toujours du lendemain, car j’ai une disponibilité très large dans ma vie d’Outre-mer, ce sera plus difficile à mon retour.Au fait, mon cardiofréquencemetre est OUT ! J’ai fait mon run hier en fin d’AM, tout était OK (pas de baisse invraisemblable de fcm) et au moment d’entrer les données dans l’ordi gros cafouillage et Pfuiiit ! Plus rien. Je pense que la pile a rendue l’âme subitement car l’appareil m’indique une mise en charge mais il reste à 0%… galère ! Je ne retourne en métropole que dans 3 semaines donc plus moyen de prendre les mesures pour évaluer les performances. C’est vrai qu’en zone tropicale humide les batteries sont très fragiles, mais je ne m’attendais pas à une rupture aussi nette, en espérant que ce ne soit pas plus grave.
Bonne continuation et à bientôt !-
#8 écrit par Nicolas Cherpeau Il y a 11 ans
Super ces objectifs ! Et très bien aussi de commencer par 10km, avant de s’attaquer à un semi et pourquoi pas un marathon ! (la progressivité est une notion clé que j’essaie de faire passer sur le blog 😉 )
Pas de bol pour le cardio, mais si ce n’est que la pile, c’est pas méchant. Un peu de course aux sensations en attendant 😉
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#9 écrit par Genevieve Il y a 10 ans
Courir seule ou en groupe!!!
Je courais seule et l an passe je me suis inscrite dans un club. Je pensais que je serai plus motivee surtout l hiver qd il fait froid : on a davantage envie de rester chez soi que de sortir ds le froid…
Les gens etaient super sympas avec moi , m attendaient qd j etais a la traine….que j en etais genee car je me disait que j etais un poids pour eux…..donc je me forcais a aller au bout de moi meme.
Puis j ai ete souvent malade et du coup j ai abandonne. Tres fatiguee j ai du arreter de courir.
Ayant repris des forces je cours a nouveau mais seule.
Ce matin une femme courait devant moi. Je me suis « accrochee » a elle et j’ai poursuivis alors qu elle s arretait. J ai pu faire un peu plus que 9 kms. Je pense que sa « presence » m a donne ( biensur elle l ignorait) m a motive et comme j avais pris un rythme de croisiere j ai pu aller plus loin que ce que j imaginais.
Courir seule donne une Liberte: c est quand on veut et ou nos pas nous menent …… -
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Pour ma part, j’ai longtemps courus en club et j’aimais vraiment ça. L’ambiance était bonne et la motivation toujours importante. Par contre l’esprit de compétition était également important…
Aujourd’hui je cours seul car j’ai beaucoup plus envie de courir pour le plaisir et pour les sensations de liberté qu’apporte la course à pied que pour la compétition et les « défis »…
D’ailleurs je trouve vraiment cela plus sympa car on peut beaucoup plus écouter son corps et courir en fonction de ses sensations. L’entraînement est bien plus adapté à mes sensations, mais le partage est bien moins important.
D’ailleurs je prépare le marathon de Paris 2013. Pour ceux qui veulent me suivre et échanger sur ma préparation (www.kiffetonmarathon.com). Je fais cette préparation seul donc si vous voulez partager, se sera avec plaisir.
Donc pour conclure, pour moi aujourd’hui le plaisir est dans la recherche de bonnes sensations et de liberté. Donc j’opte pour courir seul 🙂